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Foutez vous la paix et commencez à vivre, de Fabrice Midal

Posted on juillet 8, 2025juillet 9, 2025 By jeansaistrop76@gmail.com Aucun commentaire sur Foutez vous la paix et commencez à vivre, de Fabrice Midal

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Sommaire

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  • Foutez-vous la paix ! Et commencez à vivre 🧘‍♀️
    • Le Guide Ultime de Fabrice Midal pour une Vie Authentique et Sereine
    • Qui est Fabrice Midal ? L’Expert qui Réinvente la Méditation 🧠
      • Un Philosophe Engagé et un Enseignant de Méditation Reconnu 📚
    • L’Idée Révolutionnaire de « Foutez-vous la paix » : Un Contre-pied aux Injonctions Modernes 🚀
      • 1. Cessez de Méditer (comme on vous dit de le faire) : Ne Faites Rien ! 🚫
      • 2. Cessez d’Obéir : Libérez Votre Intelligence ! 💡
      • 3. Cessez d’être Sage : Soyez Enthousiaste ! 🎉
      • 4. Cessez d’être Calme : Soyez en Paix ! 🕊️
      • 5. Cessez de vous Refréner : Désirez ! 🔥
      • 6. Cessez d’être Passif : Sachez Attendre ! ⏳
      • 7. Cessez d’être Conscient : Soyez Présent ! 🌌
      • 8. Cessez de vouloir être Parfait : Acceptez les Intempéries ! 🌧️
      • 9. Cessez de chercher à tout Comprendre : Découvrez le Pouvoir de l’Ignorance ! ❓
      • 10. Cessez de Rationaliser : Laissez Faire ! 🍃
      • 11. Cessez de vous Comparer : Soyez Vous-même ! 🌟
      • 12. Cessez d’avoir Honte de Vous : Soyez Vulnérable ! ❤️‍🩹
      • 13. Cessez de vous Torturer : Devenez Votre Meilleur Ami ! 🤗
      • 14. Cessez de vouloir Aimer : Soyez Bienveillant ! 💖
      • 15. Cessez de Discipliner vos Enfants : La Méditation n’est pas de la Ritaline ! 🧒
    • Le Bonheur selon Fabrice Midal : Une Aventure, un Émerveillement Quotidien ✨
    • Pourquoi « Foutez-vous la paix » est Indispensable Aujourd’hui ? 🌍
    • Conclusion : Votre Appel à l’Action pour une Vie Plus Libre ! ➡️

Foutez-vous la paix ! Et commencez à vivre 🧘‍♀️

Le Guide Ultime de Fabrice Midal pour une Vie Authentique et Sereine

Dans un monde où l’injonction à la performance et la quête incessante de perfection nous torturent au quotidien, où nous sommes pris dans un activisme frénétique nous rendant aveugles à l’essentiel, un ouvrage se dresse comme un véritable manifeste pour la libération : « Foutez-vous la paix ! Et commencez à vivre » de Fabrice Midal. Ce livre n’est pas un énième guide de développement personnel promettant une sérénité illusoire, mais une invitation radicale à briser les carcans intérieurs et extérieurs qui nous emprisonnent.

Fabrice Midal, philosophe et enseignant en méditation depuis plus de vingt-cinq ans, déconstruit nos certitudes et nos automatismes pour nous reconnecter à notre humanité profonde. Son message est clair : la vraie liberté et la paix ne résident pas dans le contrôle ou la conformité, mais dans l’audace de s’autoriser à être pleinement soi, avec toutes ses imperfections. Préparez-vous à revoir vos conceptions de la méditation, de la sagesse, de l’action et même de l’amour.

Qui est Fabrice Midal ? L’Expert qui Réinvente la Méditation 🧠

Fabrice Midal est une figure majeure de la philosophie et de la méditation contemporaines en France. Son parcours éclectique témoigne d’une pensée riche et d’une approche non conventionnelle.

Un Philosophe Engagé et un Enseignant de Méditation Reconnu 📚

Midal est l’auteur de nombreux ouvrages dans des domaines variés, allant de la philosophie (« Comment la philosophie peut nous sauver ? », « La tendresse du monde, l’art d’être vulnérable ») à la poésie et l’art, en passant bien sûr par la méditation. Cette diversité montre sa capacité à aborder les grandes questions de l’existence sous différents angles.

Il enseigne la méditation depuis près de quinze ans et pratique depuis plus de vingt-cinq ans. Cependant, il se distingue radicalement des approches courantes. Fabrice Midal refuse de transmettre une technique ou de faire miroiter des promesses de productivité ou d’efficacité. Il insiste sur le fait que la méditation, telle qu’il l’entend, ne sert « fondamentalement, au sens ordinaire, à rien ». C’est justement parce qu’elle nous délivre de la dictature de l’utilité et de la rentabilité qu’elle est précieuse. Son enseignement est une invitation à la liberté, non à la conformité.

Il se souvient de son initiation par Francisco Varela, un grand neurobiologiste contemporain, qui lui a simplement dit de « bien s’asseoir sur son coussin et d’être juste présent, attentif à ce qui se passe », sans chercher à comprendre. Cette expérience fut un choc libérateur pour lui, un élève qui se sentait toujours obligé de « mieux faire » sans comprendre ce qu’on attendait de lui.

L’Idée Révolutionnaire de « Foutez-vous la paix » : Un Contre-pied aux Injonctions Modernes 🚀

L’ouvrage de Fabrice Midal est structuré autour de 15 chapitres, chacun proposant de « cesser » une habitude ou une injonction pour mieux « être » ou « découvrir » autre chose. Cette approche inversée est la force du livre.

1. Cessez de Méditer (comme on vous dit de le faire) : Ne Faites Rien ! 🚫

La première injonction surprenante est de cesser de méditer. Midal critique l’avalanche de livres et de discours qui nous somment de pratiquer la méditation, la transformant en une technique productive pour être plus calme, plus efficace ou moins stressé en entreprise ou à l’école. Il a vu des apprentis méditants désarçonnés et dégoûtés par cette approche axée sur la performance.

Pour Midal, la méditation n’est pas une technique ou un exercice avec un mode d’emploi. Elle est un art de vivre : l’art de se foutre la paix. Il ne prescrit rien, ne garantit rien. L’objectif n’est pas de devenir sage ou calme, mais de se libérer des injonctions. On ne médite réellement que si l’on arrête de chercher à méditer, en se débarrassant de l’impératif de réussite.

Le vrai geste de méditation est d’oser se laisser tranquille. Midal évoque ses grands-parents qui, sans jamais avoir entendu parler de méditation, passaient de longs moments à regarder le feu dans la cheminée, un acte proche de la méditation telle qu’il l’entend – « un simple acte de présence ».

Il traduit le terme de « mindfulness » par « pleine présence » plutôt que « pleine conscience », car la méditation ne s’adresse pas uniquement à l’esprit, mais à tout notre être : corps, souffle, sensations, perceptions. Il s’agit d’être simplement présent à ce qui est, sans analyser, sans juger, sans chercher à faire le vide. C’est un acte de bienveillance envers soi et le monde. Respirer naturellement, sans consignes, est déjà un acte de méditation qui resynchronise avec la vie.

2. Cessez d’Obéir : Libérez Votre Intelligence ! 💡

Midal commence ce chapitre par l’anecdote du concours de châteaux de sable où sa sœur gagne en sculptant une coccinelle créative, tandis que lui échoue en voulant suivre la consigne à la lettre. Il dénonce la tentation de suivre aveuglément les règles, qu’elles soient édictées par d’autres ou auto-imposées.

Il s’appuie sur le texte de La Boétie, « De la servitude volontaire », pour expliquer pourquoi les hommes renoncent si facilement à leur liberté pour obéir. Nous obéissons souvent par peur de nous tromper ou par désir de nous fondre dans la masse. L’éducation, le formatage, nous incitent à reproduire plutôt qu’à réfléchir, préparant les individus au « marché du travail » plutôt qu’à la vie chaotique et en perpétuel changement du XXIe siècle.

Pourtant, l’intelligence réside dans la capacité à inventer une réponse, à sortir du cadre. Des figures comme Einstein, Newton ou Kandinsky sont des exemples de génies qui ont osé briser les règles existantes pour innover. L’auteur insiste : se « foutre la paix » ne signifie pas « faire n’importe quoi ». Au contraire, c’est l’aveuglement à suivre certaines règles qui nous pousse à l’absurde.

Les « règles » de la méditation, selon Midal, sont d’une simplicité désarmante : être présent à son souffle et être ouvert à tout ce qui est là. Il compare cela à l’attitude d’un scientifique derrière un microscope, observant avec curiosité sans chercher à réussir. Se foutre la paix, c’est se libérer des règles intérieures, surtout celles que l’on s’impose sans que personne ne les demande. C’est faire confiance à son intelligence, à ses « antennes » intérieures, en acceptant de ne pas savoir à l’avance ce qui va advenir.

3. Cessez d’être Sage : Soyez Enthousiaste ! 🎉

Midal critique la vision « fantasmagorique » et « infantile » de la sagesse en Occident. Pour beaucoup, la sagesse est une panacée qui éliminerait tous les problèmes pour un bonheur de quiétude constante. Cette vision, héritée de l’épicurisme et du stoïcisme, promet l’ataraxie (absence de troubles) et l’indifférence aux douleurs. Il dénonce cette « insensibilité » comme un scandale et le contraire de la vraie sagesse.

Des figures comme le Bouddha, le Christ ou Nelson Mandela sont des contre-exemples sublimes : ils n’étaient pas lisses, ils se sont mis en colère, ils ont pleuré, dit non, et ont cherché à changer le monde. La sagesse n’est pas un but, mais un cheminement difficile, fruit d’expériences et d’épreuves.

Midal oppose la sagesse « effrayante à force d’être lisse » à l’enthousiasme, qui seul « guérit et change le monde ». L’enthousiasme permet de quitter sa zone de confort et d’aller vers plus grand. Il n’y a pas de honte à assumer ses envies, ses ras-le-bol, ses énervements. La vraie sagesse, selon Midal, est déjà en nous, et consiste à s’ouvrir à ce que nous sommes, imparfaits.

Il invite à faire face aux émotions, y compris la colère, sans chercher à les réprimer ou les fuir. La méditation, pour lui, est un « travail réel avec la douleur, la confusion, les émotions », non une « tisane ou une pilule magique ». Elle aide à les observer pour aller vers l’apaisement naturel, loin de l’évitement stoïcien.

4. Cessez d’être Calme : Soyez en Paix ! 🕊️

Le concept de « calme » est souvent mal interprété. Midal le déconstruit : étymologiquement, « calme » (du grec calma) signifie « absence de vent », « inactivité », « chômage ». Être calme, c’est être immobile, figé, ce qui est « aux antipodes de la vie ». Il critique l’injonction sociale à être toujours calme, sans émotions, un rouage parfaitement lisse et efficace.

La « paix », en revanche, vient de la racine indo-européenne pehg, signifiant « réparer, ajuster, travailler ». La paix implique un effort pour que tout soit rassemblé avec justesse, intégrant le tumulte de la vie. La méditation, pour Midal, pacifie mais ne calme pas. La paix n’est pas l’absence de troubles, mais la capacité d’entrer en rapport avec l’ensemble de la réalité, y compris la rage ou le chagrin, en les reconnaissant au lieu de les nier.

Il rejette les approches méditatives qui visent à observer les pensées comme des nuages pour les faire disparaître (trop intellectuel et ennuyeux), ou à contrôler l’esprit pour faire le vide (source de paranoïa et d’isolement), ou encore à se fondre dans le divin. Son approche est simple : « Ne rien vouloir. Ne rien rechercher. Développer une attitude de pleine présence à ce qui est ». La vraie paix peut éclore « au cœur même de l’angoisse ». Il l’illustre avec l’image d’un enfant malade apaisé par la présence aimante de sa mère, même si la douleur persiste. La méditation est une voie de transmutation des émotions, ouvrant à la bienveillance et à l’action.

5. Cessez de vous Refréner : Désirez ! 🔥

Midal s’attaque à la fausse idée que la sagesse ou la spiritualité impliquent d’être sans désirs et sans tourments. Il y voit l’héritage d’un certain stoïcisme, épicurisme et christianisme qui ont créé une dichotomie erronée entre le calme et l’action.

Pour lui, la philosophie est une « érotique ». Le désir n’est pas la « soif qui accapare » (trichna), mais « l’élan de vie qui me porte en avant, qui me surprend souvent, me libère toujours ». Ce désir n’est pas un consumérisme, mais un sentiment profond qui nous saisit et nous fait « sortir hors de soi ».

Des études en psychologie positive montrent que les moments de plus grand bonheur sont ceux où l’on se sent capable de relever un défi qui n’écrase pas, correspondant à un « désir d’accomplissement ». Ces « expériences optimales » (flow) où l’on fusionne avec l’objet de son attention sont des moments où l’on « se fout la paix ». Le vrai désir ne se trouve pas dans l’introspection, mais en s’engageant dans le monde. « Demandez-vous tout simplement ce qui vous fait envie », car c’est ce qui nous éveille et nous pousse spontanément vers l’altruisme et l’engagement.

6. Cessez d’être Passif : Sachez Attendre ! ⏳

Notre société valorise une vision de l’action comme « ce qui produit un résultat immédiatement mesurable ». Être surbooké est vu comme le summum de la réussite. Cependant, cette agitation frénétique nous rend passifs, nous donnant l’impression d’agir alors que nous enchaînons des activités absurdes sans sens. Midal utilise l’analogie du businessman du Petit Prince qui compte les étoiles sans jamais les admirer, ou du patient qui tape des mains pour chasser les éléphants invisibles.

Le « temps véritable » n’est pas celui des horloges ou des « process » formatés. C’est le temps nécessaire pour être, pour apprendre, pour avancer. La méditation, même si elle semble passive (être assis, ne rien faire), est en réalité une « action profonde, réelle ». Il la compare à l’écoute attentive d’un médecin qui prend le temps de comprendre son patient avant d’agir. Attendre, pour Midal, n’est pas passivité mais une « capacité d’attente » profondément active, basée sur la confiance en la vie. C’est oser tout arrêter pour permettre à quelque chose de nouveau d’apparaître.

7. Cessez d’être Conscient : Soyez Présent ! 🌌

Midal remet en question la primauté de la conscience héritée de Descartes, qui a marqué la pensée occidentale par son dualisme (esprit séparé du corps, la conscience comme entité capable de tout contrôler). Il critique la « pleine conscience » comme une « action réflexive, de pure spiritualité, indépendante de toute autre réalité ». Cette dénomination, selon lui, entraîne une mécompréhension en l’associant à la réflexion, au savoir, au contrôle.

Méditer, c’est toucher un sens de « présence » avec l’entièreté de son être (corps, cœur, émotions, esprit), en étant ancré dans le monde, non en réfléchissant ou en prenant conscience de manière détachée. Il prend l’exemple du cycliste qui tient en équilibre sans calculer l’angle, ou du joueur de tennis qui attrape une balle sans calculer la trajectoire : ils sont « un avec le geste, avec la situation, en étant présent et non pas conscient ».

La « pleine présence » qu’il enseigne vise à nous libérer de « l’enfer de la pleine conscience » pour vivre « en pleine présence avec l’entièreté de notre être, de nos sensations, de notre cœur, de notre peau, de notre souffle, et en nous replaçant dans la chair même du monde ». Il s’agit d’un retour aux sources du terme sanskrit bhavana, qui signifie « être d’une certaine manière ». C’est apprendre à être attentif plutôt que conscient, à être dans le monde plutôt que recroquevillé sur soi. Le piège de la conscience est de tout redoubler, de se regarder faire, de tout contrôler. Les traditions spirituelles et artistiques sont là pour nous libérer de cette « idéologie de la conscience » et nous rappeler que l’être humain est d’abord un être vivant qui sent et ressent.

8. Cessez de vouloir être Parfait : Acceptez les Intempéries ! 🌧️

Midal confie qu’il a commencé à méditer avec le projet de devenir « parfait » : moins fragile, moins timide, plus calme, plus solide. Il critique cette quête de perfection, qui est le refus de l’échec, perçu comme une catastrophe et une honte. Pourtant, l’échec est « non seulement inévitable, mais surtout indispensable » pour grandir et apprendre, comme l’illustre l’exemple d’Edison et ses mille manières de ne pas faire une ampoule.

La perfectionnisme nous pousse à cacher nos émotions, surtout les douloureuses, par honte. Mais refuser d’éprouver et d’exprimer ces émotions, c’est « refuser quelque chose de notre part d’humanité ». Il cite Jack Kornfield : un individu qui ne ressent jamais d’émotion, qui n’est jamais triste ou en colère, est un psychopathe ou est mort.

L’authenticité, le fait d’être « à nu » avec ses émotions, permet une vraie rencontre avec les autres. Son expérience de conférence à Notre-Dame-de-Paris, où son émotion a plus touché que la logique de sa réflexion, en est un exemple. L’injonction au perfectionnisme, dès l’école avec le « peut mieux faire », nous harcèle moralement et nous dévalue en permanence par la comparaison.

Fabrice Midal a appris à cesser de vouloir être parfait et à s’en « foutre », transformant son rapport à ses fragilités. Méditer n’a pas pour but de rendre parfait, mais d’accepter « en vrac tous les éléments qui [nous] constituent et enterrer la hache de guerre ». Il le démontre avec l’histoire de son voisin, un architecte cynique et « fort », qui accepte de méditer face à un cancer terminal et fait la paix avec lui-même en embrassant sa fragilité. Nul n’est parfait, et l’idéal de perfection est inhumain. Midal nous invite à être « excellents » et « ambitieux » plutôt que parfaits : faire de son mieux « à partir de ce que vous êtes, à partir de la réalité que vous avez en face de vous », en acceptant la complexité du monde et les intempéries.

9. Cessez de chercher à tout Comprendre : Découvrez le Pouvoir de l’Ignorance ! ❓

Midal introduit ce chapitre avec l’anecdote du bourdon d’Igor Sikorsky : selon l’aérodynamique, il ne devrait pas voler, mais il vole parce qu’il « ne le sait pas ». Ce « pouvoir de l’ignorance » nous manque cruellement, car nous méprisons l’ignorance au profit de notre capacité à « tout comprendre ».

Il dénonce la volonté de tout comprendre comme une source d’égarement et de paralysie. Les thérapies axées sur la compréhension du « pourquoi » ne mènent pas toujours au changement, enfermant parfois les individus encore plus dans leur problème. Son propre processus de libération face à la douleur héritée de la Shoah n’est venu qu’en acceptant de « lâcher la corde pourrie » de la raison et de l’analyse, en se « foutant la paix » avec ses douleurs sans chercher de solution.

Ne pas s’acharner à tout comprendre est la seule manière d’être fidèle à l’existence humaine, de lui rendre son souffle et sa démesure salutaire. En abandonnant cette obsession, une autre force se révèle : l’intuition. L’intuition n’est pas ésotérique, mais une « rationalité souterraine » puisant dans des connaissances emmagasinées sans remonter à la conscience. Elle se déploie « d’autant mieux que l’on se fout la paix » et que l’on abandonne l’obsession des vérifications infinies.

Le désir de tout comprendre bride aussi la créativité, qui exige d’accepter de perdre ses repères et de changer. La société, en formatant les individus dès l’école, les rend résistants au changement, alors que le monde du XXIe siècle est en perpétuel mouvement. Se foutre la paix, c’est « se jeter à l’eau » pour s’ouvrir à des possibles et devenir plus créatif.

10. Cessez de Rationaliser : Laissez Faire ! 🍃

Le projet initial de la rationalité était « formidable » : sortir du flou, de la superstition, construire un cadre pour vivre ensemble. Mais aujourd’hui, elle est « déglinguée », devenant une obsession qui paralyse et déshumanise. Midal critique les experts et technocrates qui, à force de tout calculer et de se baser sur des a priori, prennent des décisions « déconnectées de la réalité, du cœur de la vie », et se trompent lourdement.

Cette rationalisation à outrance, notamment managériale, est à l’origine de l’augmentation des taux de suicide, dépression et burn-out en Occident. Se foutre la paix, c’est se désintoxiquer du calcul et de la violence déshumanisante qu’il implique. C’est permettre à une « intelligence beaucoup plus profonde en nous d’exister », une intelligence qui ne se pétrit pas seulement dans le cerveau, mais qui a aussi besoin des sens, du corps, des yeux, du cœur, et de la réalité du monde.

Midal ne déclare pas la guerre à la rationalité ou à l’efficacité, qu’il estime nécessaires dans certains domaines (gérer un compte en banque, structurer une journée). Mais il refuse que l’efficacité devienne une « dictature » régissant toute l’existence, notamment des domaines comme l’éducation des enfants ou les relations humaines. La méditation, malheureusement, participe parfois à cette rationalisation totalitaire lorsqu’elle est pratiquée pour être plus efficace ou rentable. Il appelle à « laisser jaillir la vie dans sa pure effervescence ».

11. Cessez de vous Comparer : Soyez Vous-même ! 🌟

La comparaison est une inclination naturelle chez l’homme, mais la société de consommation l’a transformée en une « injonction paradoxale » : « soyez comme tout le monde et ne sortez pas du lot, mais, en même temps, soyez différent ». Cette « double injonction » (double bind) est source de troubles psychiatriques et le ressort du marketing et du capitalisme actuel. À force de se conformer, nous en arrivons à ne plus savoir ce que nous voulons ou désirons vraiment, indépendamment des autres.

Midal ne condamne pas la comparaison en soi, mais la perte de liberté intérieure qu’elle peut entraîner. La peur d’être rejeté ou isolé nous pousse à faire taire la petite voix intérieure qui dit « non ». Il insiste sur l’importance de s’accorder le droit d’être singulier, unique, et d’accepter que cette singularité évolue constamment.

Il se réfère à Jean-Jacques Rousseau pour distinguer « l’amour de soi » (satisfaction de ses besoins, bienveillance envers soi) de « l’amour-propre » (comparaison constante, source d’insatisfaction perpétuelle). « Se foutre la paix », c’est cesser de se juger, de s’évaluer, de se comparer, et de vouloir être ceci ou cela. L’auteur partage son expérience de liberté en assumant son chemin de vie (méditation) malgré la peur de décevoir ses parents.

Sortir du troupeau mène à une « solitude salutaire » qui est « plénitude », non isolement. Être soi n’est pas une introspection égoïste, mais « s’oublier », s’ouvrir au monde, être curieux de ce qui nous appelle et nous touche. La joie est le moteur de la réussite, non l’inverse. L’exemple de Cézanne, qui n’a pas cherché à être original mais à être fidèle à ce qui l’appelait, montre comment être soi-même en s’oubliant et en faisant de son mieux. La vraie confiance, celle que Midal transmet, est « inconditionnée », une « confiance en rien », mais « en mon humanité, en l’humanité en moi qui sait mieux que moi ».

12. Cessez d’avoir Honte de Vous : Soyez Vulnérable ! ❤️‍🩹

Midal aborde un sujet profondément personnel : la honte de sa différence, notamment son homosexualité, et la peur du rejet. Il dénonce la tendance à s’endurcir face aux blessures, ce qui revient à « renier une part de notre propre humanité ». Il distingue « s’aguerrir » (trouver une solidité pour continuer à prendre des risques et aimer) de « s’endurcir » (mettre des couches de béton sur son cœur, refuser sa fragilité).

L’histoire de la rose du Petit Prince, qui accepte les chenilles pour connaître les papillons, symbolise l’acceptation de la vulnérabilité. Être vulnérable n’est pas une faute, mais une « formidable capacité d’être touché ». La honte de nos faiblesses nous pousse à nous torturer pour être « mieux ». Pourtant, le vrai bonheur n’implique pas de surmonter toutes ses failles, mais de faire la paix avec ses blessures.

La méditation, avec sa posture « dos ferme et solide, poitrine tendre et ouverte », reflète cette attitude : acquérir de la solidité tout en ressentant de la tendresse. Pleurer, être triste, ému, en colère n’est pas une faute, et ces émotions nous « disent quelque chose que j’ai à écouter ». Il n’y a pas à les rejeter ou à être écrasé par elles, mais à les vivre avec douceur et humour.

Midal insiste sur le fait que la fragilité est inhérente à l’humanité, et non une tare. Il critique les « super-héros en acier » contemporains (Iron Man, Robocop) qui renvoient une image d’héroïsme dénuée de sa dimension humaine, nous incitant à « liquider en nous une vulnérabilité devenue honteuse ». Au contraire, il valorise l’héroïsme du pompier en larmes après avoir sauvé un enfant, qui touche par sa « faiblesse » et réveille « une part de notre humanité enfouie ».

La méditation n’est pas là pour nous rendre « plus efficace, ni plus solide, ni plus grand, ni plus autonome ». Elle ouvre un espace où nous sommes « autorisés à nous foutre la paix ».

13. Cessez de vous Torturer : Devenez Votre Meilleur Ami ! 🤗

Le chapitre s’ouvre sur la « petite voix insidieuse » qui nous juge en permanence, nous martyrisant avec une sévérité et une partialité que nous n’appliquerions jamais à autrui. Cette « auto-flagellation » est si ancrée que nous ne la percevons plus comme une violence. Elle nous pousse à nous excuser constamment et nous dénigre, étouffant notre élan.

Midal, qui s’est longtemps auto-flagellé pour son impatience, a réalisé l’ampleur de cette tyrannie intérieure. Il propose deux étapes pour s’en libérer :

  1. Observer cette violence au quotidien, en constater l’ampleur sans jugement.
  2. Agir avec soi-même « exactement comme avec un vrai ami » : avec bienveillance, sans culpabiliser ni répéter les erreurs passées, en félicitant quand c’est mérité et en apaisant la douleur.

La bienveillance envers soi n’est pas du narcissisme ou de la « gentillesse naïve ». C’est un acte « d’héroïsme » que de s’accepter pleinement, d’éprouver de la tendresse pour soi « malgré nos défauts, avec nos défauts ». C’est en acceptant ses défauts qu’ils se transforment.

Midal met en lumière le « handicap » culturel des Occidentaux, qui ont une « croyance en la méchanceté fondamentale de l’homme » (péché originel, Hobbes, Freud). Cela rend difficile la bienveillance envers soi, perçue comme de l’égoïsme. L’anecdote du Dalaï-lama, estomaqué par la difficulté des Occidentaux à connaître la bienveillance envers soi-même, est frappante. Pour le Dalaï-lama, la compassion envers tous les êtres vivants inclut soi-même.

Il déconstruit aussi la notion d’ego telle que nous l’utilisons pour nous culpabiliser (« c’est mon ego », « ego surdimensionné »). L’ego cartésien est une chose qui pense et doute, tandis que l’ego bouddhiste n’existe pas en tant qu’entité étroite et coupable. La vraie bienveillance est une « confiance en rien, en mon humanité ». La pratique de l’amour bienveillant (metta) est une « voie royale pour se réconcilier avec soi-même » en se remémorant un moment où l’on s’est senti aimé, pour ensuite étendre cette affection au monde entier.

14. Cessez de vouloir Aimer : Soyez Bienveillant ! 💖

Midal fait la distinction entre « vouloir aimer » et « être bienveillant ». Il illustre le « vouloir aimer » par l’amour conditionnel de sa grand-mère, toujours accompagné d’injonctions et de reproches (« Si tu m’aimes… lave-toi les mains, sois sage »). Cet « amour conditionnel » n’a jamais vu qui il était vraiment.

L’amour, trop souvent galvaudé et rendu « terrorisant » par son usage, se manifeste souvent sans être dit, simplement par la bienveillance. Les personnes les plus aimantes sont parfois celles qui ne prononcent pas le mot « amour », mais « qui se réjouissent sincèrement que vous soyez comme vous êtes et qui vous souhaitent de toujours mieux être celui que vous avez à être ».

Cesser de vouloir aimer, c’est être bienveillant, c’est s’autoriser à être vraiment soi-même, et vouloir l’autre tel qu’il est. L’amour est une « grâce », quelque chose qui ne se calcule pas : « Je t’aime parce que tu es qui tu es. C’est simplement le fait que tu sois qui me comble, m’apaise, me réjouit ». Il conclut ce chapitre en réaffirmant le message central : « Il te suffit de te foutre la paix pour découvrir l’art d’aimer… ».

15. Cessez de Discipliner vos Enfants : La Méditation n’est pas de la Ritaline ! 🧒

Dans ce dernier chapitre thématique, Midal s’élève contre une vision « monstrueuse » de la méditation, celle qui en ferait un outil pour « calmer » les enfants trop turbulents ou les « discipliner ». Il raconte l’anecdote d’une amie qui enjoint sa fille pleine de vie à méditer pour se calmer, provoquant la réaction de l’enfant : « Mais maman, je suis calme ! ».

Il refuse de rendre les enfants « sages comme une image », d’en faire des « enfants atrophiés » ou « à la carte ». La méditation n’a pas pour vocation de calmer, mais d’apaiser. Un enfant « calme » est souvent un enfant qui joue seul dans son coin sans déranger la quiétude des parents, tandis qu’un enfant « apaisé » est un enfant où « les tensions et les conflits n’ont plus d’espace pour être ».

Midal s’appuie sur les récentes recherches sur le cerveau de l’enfant qui montrent les dommages causés par la « violence ordinaire » (stress, injonctions comme « peut mieux faire »). Il appelle à une « nouvelle forme d’éducation bienveillante », où l’enfant est vu comme un ami ou un invité, non comme « notre » enfant devant répondre à « nos » projets.

Il ne prône pas le laxisme, mais une approche qui consiste à « détendre toute situation pour qu’elle devienne une danse », en entrant en rapport avec l’enfant et en lui donnant les règles du jeu avec bienveillance et respect. La méditation, pour les enfants, est un « geste d’amour » qui les autorise « à être absolument ce qu’il est ». Elle leur apprend le « sens véritable de l’attention » sans la pression.

Les enfants, n’étant pas encore « imbibés de nos idéologies, de nos automatismes », comprennent immédiatement ce que signifie « se foutre la paix » et ont un rapport plus amical à eux-mêmes. Ils sont plus facilement en contact avec leur corps et leurs sensations. Le témoignage de Pablo, un ancien enfant méditant de Fabrice Midal, confirme cette aisance naturelle des enfants à « se poser dans l’espace » et l’importance d’être averti que la pratique peut devenir plus difficile en grandissant, pour ne pas culpabiliser.

Le Bonheur selon Fabrice Midal : Une Aventure, un Émerveillement Quotidien ✨

En conclusion, Fabrice Midal dévoile sa vision du bonheur, qu’il craignait de partager de peur qu’elle soit confondue avec la « conception niaise et édulcorée du bonheur » véhiculée dans les magazines.

Pour lui, le bonheur n’est pas « sucré et confortable », ni un « état abstrait de félicité constante ». C’est une « véritable aventure, avec son côté héroïque, ses épisodes inattendus, les peurs qu’elle réveille parfois, le sentiment de liberté qu’elle nous procure et les victoires qu’elle nous fait vivre ». Il est plus proche de l’émerveillement que du bien-être. Ce bonheur inclut les moments difficiles et la souffrance, qu’il ne s’agit pas d’éviter, mais de « mieux comprendre » pour pouvoir les alléger ou les guérir.

La voie royale vers l’émerveillement est de « sortir de soi », de s’ouvrir, de défricher, de découvrir, et d’oser prendre des risques pour gagner en « ampleur de vie » et avoir confiance en elle. Il utilise l’image du « Terrier » de Kafka, une créature obsédée par la construction d’une forteresse imprenable pour survivre, mais qui, en réalité, s’empêche d’exister. Nous sommes cette créature, obsédés par nos mécanismes de défense qui nous empêchent de vivre pleinement.

Midal partage son émerveillement face aux cerisiers en fleur ou à la musique de Mozart, qui lui apprend à « ne pas avoir peur de perdre le contrôle » et le fait « sortir de soi ». S’émerveiller, ce n’est pas fuir la réalité ou ses difficultés, mais les affronter tout en reconnaissant qu’elles ne constituent qu’une partie de la réalité. C’est savoir trouver le « rayon de lumière » même dans les situations extrêmes.

L’obsession de nos identités et fonctions nous fait oublier d’exister. « Quand je me fous la paix, je me désapproprie de ces fonctions, je redeviens un être humain, juste un être humain. Et c’est un soulagement extraordinaire… ». L’émerveillement est un « esprit d’enfance » à retrouver, une « gratitude envers la vie » qui ne dépend pas des circonstances et qui est une « profonde délivrance ».

Pourquoi « Foutez-vous la paix » est Indispensable Aujourd’hui ? 🌍

« Foutez-vous la paix ! Et commencez à vivre » n’est pas qu’un simple livre, c’est une invitation à un changement de paradigme profond face aux maux de notre société moderne :

  • L’Activisme Frénétique et la Torture Quotidienne : Midal met en lumière comment nous nous torturons à intégrer des normes, des injonctions et des modèles qui ne nous correspondent pas, happés par l’urgence de « faire » sans réellement « faire ». Le livre est un appel à « Arrêter ! » pour redécouvrir les possibles oubliés en nous.
  • La Dictature de l’Utilité et de la Rentabilité : La société actuelle, y compris dans le domaine de la méditation, a érigé l’utilité et la rentabilité en maîtres mots. Midal s’élève contre cette déshumanisation radicale, rappelant que la vie, l’amour, les relations humaines ne peuvent être gérés ou rationalisés comme un budget.
  • La Quête Illusoire de Perfection et de Calme : Le culte du « toujours mieux faire », la peur de l’échec et la honte de nos imperfections nous poussent à vouloir être parfaits, images lisses et sans vagues. Midal nous encourage à accepter les « intempéries » et à embrasser notre vulnérabilité, car c’est là que réside notre force et notre authenticité.
  • La Servitude Volontaire et le Formatage : Dès l’enfance, nous sommes incités à rentrer dans un moule, à obéir aux règles plutôt qu’à penser par nous-mêmes. Cette soumission volontaire étouffe notre intelligence et notre créativité. Le livre est un appel à la liberté de l’esprit, à oser dire « non » et à interpréter les règles avec intelligence.
  • L’Auto-Torture et le Manque de Bienveillance envers Soi : Nous sommes devenus nos pires juges, nous harcelant moralement avec une « petite voix insidieuse ». Le livre insiste sur la nécessité de devenir notre « meilleur ami », d’éprouver de la bienveillance envers soi-même, une notion que la culture occidentale a du mal à intégrer.

En somme, « Foutez-vous la paix ! » est un acte de résistance, une dénonciation des aliénations modernes et une invitation à une vie plus vivante, plus vraie, plus libre et plus humaine.

Conclusion : Votre Appel à l’Action pour une Vie Plus Libre ! ➡️

Si les injonctions modernes vous épuisent, si vous vous sentez pris au piège de l’agitation ou de la quête incessante de perfection, alors l’ouvrage de Fabrice Midal est une bouffée d’air frais. Il nous rappelle que la sagesse n’est pas un Graal inatteignable ou une performance à réaliser, mais une disposition d’esprit déjà présente en chacun de nous, dans l’ici et le maintenant.

« Se foutre la paix » n’est pas synonyme de négligence ou de laxisme. C’est un acte d’audace, de confiance et de bienveillance envers soi, permettant de se reconnecter à sa propre humanité et à la richesse de l’existence. C’est oser être imparfait, vulnérable, désireux, en paix avec le tumulte de la vie, et ouvert à l’émerveillement du quotidien.

Le message de Fabrice Midal est clair : arrêtez de vous torturer, cessez d’obéir aux fausses injonctions, et commencez à vivre pleinement. Le bonheur, tel qu’il le conçoit, est une aventure qui vous attend, si vous osez simplement vous autoriser à être.

Pour en savoir plus sur l’approche de Fabrice Midal et explorer davantage ces concepts, n’hésitez pas à visiter son site Internet, où de nombreuses ressources sont disponibles : http://www.fabricemidal.com.

Libérez-vous, respirez, et foutez-vous la paix ! Votre vie n’en sera que plus intense et plus juste. ✨

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