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Le Solitaire du Palais : Immersion dans les Coulisses du Pouvoir Macronien 🇫🇷
Analyse SEO : Un Récit Authentique du Quinquennat 💡
Publié sous la direction de Denis Boulard par les Éditions Robert Laffont en 2022, Le Solitaire du palais est bien plus qu’un simple livre politique classique. Il se positionne comme un récit essentiel et sans parti pris du premier quinquennat d’Emmanuel Macron, offrant une perspective unique et interne sur les choix, les hésitations et les volte-face du jeune capitaine à la barre de l’État.
L’ouvrage se distingue par son approche de « fonds marins » et de « coulisses », cherchant à expliquer les « remous » et les « coups de tabac » qui ont marqué cette période, tels que les Gilets jaunes, l’affaire Benalla et la pandémie de Covid-19. Le livre a l’ambition de permettre aux citoyens de se prononcer « avec le plus d’objectivité possible » sur l’acteur principal de ce quinquennat, loin des raccourcis et des fausses certitudes.
Cet article propose un résumé détaillé et une analyse approfondie des thèmes majeurs et des moments cruciaux qui, selon les sources, définissent le mandat d’Emmanuel Macron, tels que vécus par l’autrice Laurence Benhamou.
L’Œil de l’Infiltrée : La Perspective Unique de l’AFP 📰
Laurence Benhamou et le Secret du Palais ✨
Laurence Benhamou, l’autrice, n’est pas qu’une simple journaliste. Elle occupe l’un des deux postes d’« accrédité permanent à l’Élysée » pour l’Agence France-Presse (AFP). Elle et son coéquipier, Jérôme Rivet, se relaient H 24 pour suivre Emmanuel Macron « partout où le vent le mène ».
Leur bureau est situé dans l’enceinte même de l’Élysée, à l’angle ouest de la cour d’honneur. En tant qu’agenciers, ils sont les seuls éléments extérieurs à l’appareil d’État à pouvoir entrer à leur gré dans cette forteresse. L’autrice décrit sa présence comme un symbole de la liberté de la presse et d’un « œil extérieur au cœur du secret ». Ce poste, maintenu de justesse mais « raboté de moitié sous Emmanuel Macron », lui a permis de vivre au rythme du chef de l’État pendant tout le quinquennat, découvrant avec lui les imprévus et les drames.
L’approche de Benhamou est comparée par Denis Boulard à celle de La Décennie Mitterrand (de Pierre Favier et Michel Martin-Roland), un titre de référence pour son suivi « au jour le jour de l’exercice du pouvoir ».
Les Premiers Conflits avec la Presse 🥊
Dès le début du mandat, les relations avec les médias se tendent brutalement. Sibeth Ndiaye, conseillère en communication, ordonne que le président choisisse les journalistes pour ses déplacements, préférant des « spécialistes » aux généralistes. Plus grave, elle enjoint les accrédités permanents à quitter les lieux, souhaitant supprimer la salle de presse de l’Élysée. Les journalistes protestent, rappelant que c’est « la maison des Français ». Ce bras de fer durera deux longues années. Le président Macron se méfie des médias, qu’il cherche à contourner via les réseaux sociaux. Il affirme même que sa pensée est « trop complexe pour une interview ».
Un conseiller lance aux journalistes : « Vous allez en baver ». Le président Macron met en place une communication très contrôlée, interdisant le « off » (discussions informelles) et demandant aux ministres de ne rien divulguer. C’est l’émergence d’une communication où @Emmanuel Macron devient son propre média.
Chronologie des Événements Clés et Réformes 🗓️
1. Endosser l’habit : Printemps 2017 👑
Emmanuel Macron, 39 ans, devient le plus jeune président jamais élu, désigné par 66 % des voix. Sa victoire au Louvre, avec l’image remarquablement cadrée de la Pyramide et la marche lente sur l’« Ode à la joie », est un coup de maître destiné à gommer l’erreur du premier tour (la célébration à La Rotonde).
Macron veut s’imposer comme l’anti-Hollande et l’anti-Sarkozy, adoptant une « gravité silencieuse ». Sa trajectoire « météorique » déroge à toutes les habitudes, ayant réussi à gagner en s’affirmant « et de droite et de gauche ».
Dès les premiers jours, il cherche à marquer sa stature internationale. Il rencontre Donald Trump et Vladimir Poutine. Après le retrait américain de l’Accord de Paris, Macron lance son appel viral : « Make our planet great again ! ».
3. Entrer dans le dur : Réformes et Petites Phrases 🤬
Dès septembre 2017, la réforme du Code du travail par ordonnances devient la priorité. Le gouvernement, piloté par Muriel Pénicaud, met en place des mesures audacieuses pour accroître le pouvoir du patronat, notamment la primauté des accords d’entreprise sur les conventions collectives et le plafonnement des indemnités prud’homales. Malgré une opposition syndicale, les manifestations ne rassemblent que des dizaines de milliers de personnes.
C’est à cette époque que Macron commence à collectionner les « petites phrases » qui lui valent une réputation d’arrogance et de mépris social. On retient notamment l’épisode de la Station F, où il évoque « ceux qui ne sont rien », ou sa réaction virulente à une pique journalistique sur les « riches ». Plus tard, il lance à Égletons : « Certains, au lieu de foutre le bordel, devraient aller voir s’ils ne trouvent pas de poste ».
Il tente de défendre sa vision en opposant la jalousie française à la réussite individuelle, prônant le soutien aux « premiers de cordée ».
4. Mille chantiers : Le Marathon des Lois 🏃♂️
Le quinquennat est marqué par un rythme de réformes effréné, avec des dizaines de lois adoptées. La méthode Macron repose sur des rapports d’experts discrets, une consultation marathon, des arbitrages présidentiels rapides, pour une réforme « quoi qu’il arrive ».
Parmi les chantiers majeurs :
- La réforme de l’éducation (Parcoursup, fin du tirage au sort).
- Un discours fort sur l’égalité hommes-femmes, désignée « grande cause » du quinquennat.
- Le projet de loi « pour un État au service d’une société de confiance » (Esoc), visant à améliorer la relation administration-usagers.
Malgré ce bouillonnement législatif, l’exécutif est critiqué pour une « communication hors sol » et une « Macronmania » où le président utilise Twitter et les happenings (comme la descente en sous-marin ou les selfies) pour contourner la presse. Il est perçu comme le président des « très riches », après la réduction de l’ISF.
5. De Trump à Benalla : Les Ennuis en Escadrille ⚓
Le mandat connaît plusieurs « ennuis en escadrille », notamment la saga des petites phrases, la commande coûteuse du service de vaisselle de Sèvres (le « prix de dingue » de Jupiter) et le projet controversé de piscine hors sol à Brégançon.
L’Affaire Benalla éclate en juillet 2018 après les révélations sur les violences du 1er mai. Le scandale est colossal. Macron, d’abord silencieux, finit par prendre l’entière responsabilité devant les Marcheurs : « Le seul responsable, c’est moi, et moi seul ! ». Il utilise cette tribune pour accuser la presse de ne plus chercher la vérité et pour nier avec ironie les rumeurs les plus folles (codes nucléaires, amant). L’affaire est un « tremblement de terre aux répliques dévastatrices », entraînant le départ de conseillers clés comme Ismaël Emelien.
Cette période est également marquée par la démission fracassante de Nicolas Hulot (ministre de l’Écologie), en direct à la radio, déplorant la présence d’un lobbyiste pro-chasse à une réunion et soulignant des désaccords fondamentaux. Macron perd ainsi sa « caution écologique ».
6. La Lessiveuse : La Crise des Gilets Jaunes 🟡
L’émergence des Gilets jaunes fin 2018 est un choc, né d’une obscure pétition contre la hausse des prix des carburants. Le mouvement, soutenu par 78 % des citoyens, est sans leader et inclassable.
Le président réagit d’abord avec fermeté, refusant de céder sur la taxe gazole. Il tente de dénier toute identité au mouvement, refusant de prononcer le terme « Gilets jaunes ». Les samedis de violence (Actes II et III), culminant avec l’Arc de Triomphe souillé, plongent le pays dans une « guérilla urbaine ».
Sa cote de popularité chute à 23 %. Contraint d’agir, Macron annonce une série de mesures sociales totalisant 10 milliards d’euros, dont une augmentation de 100 euros pour les salariés au Smic et la suppression de la hausse de la CSG pour les retraités modestes.
7. Petit Débat et Grands Éclats : L’Ère du Dialogue Contraint 🗣️
Pour sortir de la crise, Emmanuel Macron lance le Grand Débat national, une initiative inédite qui le voit passer quatre-vingt-treize heures en questions-réponses à travers le pays. Ce marathon vise à montrer de la contrition : il reconnaît que ses paroles ont pu blesser et qu’il y a eu des « erreurs de méthode fondamentales ». Cependant, il ne change pas de cap. Il utilise le débat pour réaffirmer ses convictions, notamment sur la nécessité de « responsabiliser » les personnes en difficulté.
Les annonces post-débat, bien que déflorées par les fuites (une « bérézina de communication »), incluent : une baisse de 5 milliards d’euros de l’impôt sur le revenu, l’indexation des retraites, la création d’une Convention citoyenne pour l’écologie et la suppression de l’ENA.
Le discours qui aurait dû marquer la sortie de crise est éclipsé par l’incendie de Notre-Dame de Paris. Macron utilise ce drame national pour se poser en leader rassembleur, promettant de rebâtir la cathédrale en cinq ans.
9. Feu de toutes parts : Sécurité et Covid-19 🦠
À l’approche de 2022, Macron se recentre sur le « régalien » et l’immigration. Il veut incarner une ligne dure contre les migrants économiques et le « communautarisme musulman ».
La pandémie de Covid-19 frappe la France en mars 2020. Après une période d’incrédulité et d’hésitations (notamment sur les masques, doctrine de pénurie), Macron adopte la posture de « chef de guerre », annonçant le confinement général et le « quoi qu’il en coûte » économique. L’objectif est de montrer la mobilisation générale.
L’assassinat de Samuel Paty en octobre 2020 remet le terrorisme au cœur de l’agenda. Macron défend avec force le droit au blasphème et aux caricatures, affirmant : « Nous ne renoncerons pas aux caricatures, aux dessins ». Cette posture lui vaut des critiques intenses à l’international, notamment dans les pays arabes et de la part de la presse anglo-saxonne, qui l’accuse d’islamophobie ou d’être « illibéral ».
13. COVID-19 contre 2022 : Le Pari du Pass Sanitaire 💉
Après une campagne vaccinale initialement lente et critiquée, Emmanuel Macron mise tout sur le Pass Sanitaire. Le 12 juillet 2021, il annonce la généralisation du Pass et l’obligation vaccinale pour les soignants, provoquant un « choc » dans l’opinion. Cette décision, prise au début de la quatrième vague, est considérée par ses proches comme un nouveau pari risqué mais nécessaire : « Il ne reconfinera pas, quoi qu’il en coûte ».
Cette annonce a un effet immédiat : plus d’un million de rendez-vous sont pris sur Doctolib en trois heures. Bien que le mouvement « antipass » mobilise des centaines de milliers de manifestants (mélange de Gilets jaunes, LFI et RN), l’accélération de la vaccination donne raison au président.
Analyse Thématique : Les Marques du Solitaire 🧐
La Verticalité du Pouvoir et l’Isolement 🏰
Le titre même, Le Solitaire du palais, fait écho à l’image d’un président qui assume de prendre ses décisions seul, souvent en cercle très restreint (Brigitte Macron, Alexis Kohler, Édouard Philippe). Le président Macron est dépeint comme un homme qui déteste être enfermé dans une organisation et préfère improviser. Les décisions se prennent souvent très tard la nuit, via des boucles Telegram, et non en Conseil des ministres.
L’isolement est renforcé par le départ successif de ses « mormons » (sa garde rapprochée urbaine et geek : Ismaël Emelien, Sibeth Ndiaye, Sylvain Fort), le laissant avec les « enracinés » et les tenants de la rigueur budgétaire.
L’image d’Emmanuel Macron est celle d’un dirigeant inflexible et arrogant. Son élection est vue par lui-même comme « une brutalité, d’une effraction de l’histoire ». Il rêve de grandeur, allant jusqu’à faire ajouter une petite croix de Lorraine aux armoiries de l’Élysée, référence à Charles de Gaulle.
Le « En Même Temps » : Ambiguïté et Pragmatisme 🎭
La philosophie du « dépassement du clivage gauche-droite » s’est traduite par un exercice du pouvoir rempli de contradictions apparentes, ce que l’autrice nomme l’« inévitable ‘en même temps’ ».
Macron est l’homme des virages à 180 degrés :
- Fiscalité : Il allège les impôts des plus riches (réduction ISF, flat tax), tout en dénonçant le « capitalisme glouton » et l’optimisation fiscale à l’international.
- Immigration : Il prône « humanité et fermeté », mais plaide pour l’application stricte du règlement de Dublin (renvoi des migrants dans le pays d’arrivée). Il dramatise la situation migratoire pour renouer avec les classes populaires, cherchant à chasser sur les terres du RN.
- Écologie : Il se pose en « champion de la Terre », tout en renonçant à des objectifs écologiques stricts (comme l’interdiction du glyphosate) ou en défendant des accords de libre-échange impopulaires (Mercosur).
Même sa gestion du Covid-19 est un « en même temps » : il écoute le professeur Raoult (le « druide phocéen ») dans son bastion marseillais tout en suivant les conseils du comité scientifique orthodoxe (Delfraissy).
La Bataille Culturelle et le Verbe 🗣️
Emmanuel Macron utilise un langage soutenu (substrat moral, palimpseste, carabistouilles, Pacta sunt servanda), mais peut aussi basculer dans un langage familier et même vulgaire (« bordel », « pognon de dingue ») pour parler au peuple.
Après les gaffes initiales, il cherche à polir son expression, mais le mal est fait. Il est souvent accusé de mépris. L’échange avec un collégien au Mont-Valérien, où il exige d’être appelé « monsieur le président » et conseille au jeune homme de gagner son diplôme avant de « faire la révolution », renvoie l’image d’un président désuet, comparé au personnage d’OSS 117.
Il s’engage dans des batailles symboliques, notamment contre l’élitisme dont il est issu : il supprime l’ENA et s’attaque aux Grands Corps de l’État (Conseil d’État, Cour des comptes).
L’Impatience du Président et le Combat Contre le « Système » 🚧
Emmanuel Macron est souvent guidé par une impatience, estimant que ses réformes ne vont ni assez vite, ni assez loin. Il cherche toujours à accélérer.
Lorsqu’il est frustré, il s’en prend au « système » :
- Il accuse la bureaucratie pour la lenteur vaccinale.
- Il rejette la « traque incessante de l’erreur » et qualifie les Français de « nation de 66 millions de procureurs ».
- Il combat ceux qu’il appelle les « droitsdelhommistes ».
Son ambition est claire : « Je ne suis pas le défenseur de qui que ce soit ». Il veut transformer le pays en profondeur, quitte à créer des « fractures » (notamment avec les jeunes, les ruraux, et les chômeurs).
Conclusion : L’Héritage d’un Mandat Sous Pression ⚓
Le Solitaire du palais dresse le portrait d’un président obsédé par l’action et la transformation, mais constamment rattrapé par les crises (sociales, sécuritaires, sanitaires) et les problèmes de communication.
Malgré les turbulences, l’ouvrage met en lumière un président « warrior » et un politique capable de retourner les défaites en demi-succès (le G7 de Biarritz, le Pass Sanitaire). Ses décisions massives pour soutenir l’économie pendant la pandémie (le « quoi qu’il en coûte ») ont balayé les dogmes de rigueur budgétaire du début de quinquennat.
Le livre s’achève sur la perspective de 2022. Cyniquement, le Covid-19, son « pire ennemi », est devenu son « meilleur allié », lui permettant de s’installer en chef de guerre incontournable. En dépit d’une détestation toujours vive chez ses opposants, la fin de ce mandat s’opère sur une cote de popularité relativement élevée.
L’œuvre de Laurence Benhamou offre ainsi une masse d’informations exceptionnelle, invitant chacun à « se prononcer avec le plus d’objectivité possible » sur celui qui a mené la France à travers ces cinq années tumultueuses.
Chapitres Détaillés de l’Ouvrage 📖
L’ouvrage est structuré chronologiquement, retraçant les pics et les creux du quinquennat :
Numéro | Titre du Chapitre | Période | Thèmes Majeurs Confirmés |
---|---|---|---|
1. | Endosser l’habit | Printemps 2017 | Élection, symboles (Louvre), médias (Sibeth Ndiaye), premiers pas diplomatiques (Trump/Poutine). |
2. | L’été offensif | Été 2017 | Victoire aux législatives, premières réformes sociales, relations tendues avec la presse, communication via les réseaux sociaux. |
3. | Entrer dans le dur | Septembre-octobre 2017 | Ordonnances travail, discours de la Sorbonne sur l’Europe, polémiques (notamment « ceux qui ne sont rien »). |
4. | Mille chantiers | Octobre 2017-Avril 2018 | Lancement du marathon des réformes, communication maîtrisée (happening, selfies), loi Asile et immigration. |
5. | De Trump à Benalla | Avril-Juin 2018 | Affaires : vaisselle de Sèvres, piscine de Brégançon, Affaire Benalla (Acte I), démission de Nicolas Hulot. |
6. | La lessiveuse | Été-Automne 2018 | Macron cherche à retrouver sa stature, affaire Benalla (Acte II), lancement du Plan Pauvreté. |
7. | Petit débat et grands éclats | Janvier-Avril 2019 | Crise des Gilets jaunes, Grand Débat National, annonces post-débat, incendie de Notre-Dame. |
8. | L’humain de l’acte II | Avril-Octobre 2019 | Nouvelle méthode (plus humaine), succès électoral des Verts, Affaire de Rugy, sommet du G7 à Biarritz. |
9. | Feu de toutes parts | Octobre 2019 – Mars 2020 (matin) | Sécurité/Immigration (montée d’Éric Zemmour), grève des retraites (mur du 5 décembre), début de la pandémie de Covid-19. |
10. | Drôle de guerre | Mars 2020 | Début du confinement, discours de guerre, « quoi qu’il en coûte », polémiques (masques, tests). |
11. | Série noire | Avril-Juin 2020 | Gestion de crise, polémique Raoult/Hydroxychloroquine, plan de relance européen, élections municipales (vague verte, défaite LREM). |
12. | La flèche du Parthe | Octobre-Décembre 2020 | Assassinat de Samuel Paty, défense des caricatures, Affaire Zecler et loi Sécurité globale, polémique vaccinale (lenteur, non-obligation). |
13. | Covid-19 contre 2022 | Décembre 2020-Juin 2021 | Accélération vaccinale, polémiques (lenteur, arrogance), gestion du confinement par « panenka » (retard des mesures), suppressions de l’ENA et des Grands Corps. |
14. | Dernière ligne (très) droite | Juin-Octobre 2021 | Généralisation du Pass Sanitaire (choc et succès), recul au Sahel, claque aux régionales, préparation de la réélection. |