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Alice au pays des merveilles, de Lewis Carroll (1865)

Posted on juillet 4, 2025juillet 4, 2025 By jeansaistrop76@gmail.com Aucun commentaire sur Alice au pays des merveilles, de Lewis Carroll (1865)

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Sommaire

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  • Plongez au Cœur du Pays des Merveilles : Résumé et Analyse Approfondie d’Alice de Lewis Carroll 🎩🐇
    • 📚 Section 1 : Comprendre l’Œuvre : Lewis Carroll et son Univers 🧐
      • 🖋️ L’Auteur : Lewis Carroll, le Maître du Non-sens
      • 🎭 Un Conte Merveilleux aux Multiples Facettes
      • 🎨 L’Importance des Illustrations de John Tenniel
    • 📜 Section 2 : Résumé Détaillé des Aventures d’Alice 👧
      • 🐇 Le Lapin Blanc et la Chute dans le Terrier
      • 🗝️ La Petite Clé d’Or et les Portes du Jardin
      • 🧪 Boire et Manger pour Changer de Taille
      • 🌊 La Mare aux Larmes
      • 🏠 Prise au Piège dans la Maison du Lapin Blanc
      • 🐛 La Chenille et le Champignon
      • 🕊️ La Rencontre avec le Pigeon
      • 🏘️ Chez la Duchesse : Cuisine Poivrée et Chat Grimaçant
      • ☕ Le Goûter de Folie du Chapelier Fou
      • 👑 La Cour de la Reine de Cœur et le Jeu de Croquet
      • 🐢 Le Griffon et la Fausse-Tortue
      • ⚖️ Le Procès du Valet de Cœur
      • 😴 Le Réveil et le Sens du Rêve
    • 💡 Section 3 : Analyse Thématique et Symbolique d’Alice au Pays des Merveilles ✨
      • 👧 Le Personnage d’Alice : Quête Identitaire et Maladresse
      • 😂 L’Humour, l’Absurde et le Non-Sens : Le Cœur de l’Œuvre
      • 🎭 La Dimension Critique et Morale de l’Histoire : Une Satire Voilée
      • 💭 Le Monde de l’Enfance et le Rêve : Une Évasion
      • 🧩 Les Jeux sur le Langage et la Parodie : Une Créativité Sans Limite
    • 🚀 Section 4 : L’Héritage et l’Impact Durable de l’Œuvre 🌈
      • 🌟 Une Œuvre Intemporelle
      • 🎨 Influence sur l’Art et la Culture
    • 💖 Conclusion : Un Chef-d’œuvre de l’Imagination 🎩✨

Plongez au Cœur du Pays des Merveilles : Résumé et Analyse Approfondie d’Alice de Lewis Carroll 🎩🐇

Bienvenue, cher lecteur, dans un voyage fascinant au-delà du miroir, là où la logique se tord et l’imagination règne en maître ! 🌀 Nous allons explorer ensemble l’œuvre intemporelle de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles (Alice in Wonderland). Cet article propose un résumé détaillé et une analyse approfondie de ce conte merveilleux emblématique, en mettant en lumière ses thèmes centraux, ses personnages inoubliables, et l’ingéniosité de son auteur. Préparez-vous à démystifier l’absurde et à comprendre pourquoi cette histoire continue de captiver petits et grands à travers les générations. 🌟


📚 Section 1 : Comprendre l’Œuvre : Lewis Carroll et son Univers 🧐

Avant de plonger dans les aventures d’Alice, il est essentiel de connaître l’esprit créatif derrière cette œuvre singulière.

🖋️ L’Auteur : Lewis Carroll, le Maître du Non-sens

Lewis Carroll est le pseudonyme de Charles Lutwidge Dodgson. Né en 1832, il est un homme de lettres et professeur. Le texte que nous étudions, « Alice au pays des merveilles », est une œuvre intégrale accompagnée d’un appareil pédagogique et d’un lexique établis par Stéphane Maltère. Carroll est un auteur britannique dont le vrai nom, Dodgson, est d’ailleurs proche de celui de l’oiseau « Dodo » qui apparaît dans le conte, laissant supposer une mise en scène de l’auteur lui-même.

🎭 Un Conte Merveilleux aux Multiples Facettes

Alice au pays des merveilles est classé comme un conte merveilleux. Lewis Carroll lui-même le définit comme un « conte de fées » qui se distingue du conte traditionnel par son originalité, son merveilleux déclenché par le rêve, ses jeux sur le langage, et la présence omniprésente de l’absurde.

Dans les contes traditionnels, on retrouve des personnages imaginaires (fées, sorcières, ogres, animaux qui parlent) et des personnages réels (enfants, parents, princes, princesses). Alice et sa sœur sont des personnages réels, tandis que d’autres comme le Chapelier et la Duchesse sont inspirés de la réalité.

L’œuvre se prête à une étude littéraire approfondie, explorant des notions telles que le conte merveilleux (Séance 1), le personnage du conte (Séance 2), et l’humour, l’absurde et le non-sens (Séance 3). On y étudie également l’histoire du livre illustré (Séance 3).

🎨 L’Importance des Illustrations de John Tenniel

Le document mentionne une gravure intitulée « De l’autre côté du miroir » de John Tenniel. Les illustrations de John Tenniel, à la demande de Lewis Carroll, donnent vie aux personnages d’Alice. L’invention de l’imprimerie a permis l’intégration de gravures hors-texte, et au XIXe siècle, les techniques ont évolué pour permettre des illustrations en couleur en dialogue direct avec le texte. Hachette, en 1858, a même fait de l’illustration un argument de vente pour sa « Bibliothèque rose illustrée ». Cela souligne l’importance visuelle de l’œuvre et la manière dont les images renforcent le récit merveilleux.


📜 Section 2 : Résumé Détaillé des Aventures d’Alice 👧

L’histoire commence par une journée chaude qui rend Alice lourde et endormie. Elle est assise à côté de sa sœur qui lit un livre sans images ni conversations, ce qu’Alice trouve dénué d’intérêt.

🐇 Le Lapin Blanc et la Chute dans le Terrier

Alors qu’elle songeait à l’utilité de cueillir des marguerites, un Lapin Blanc aux yeux roses passe près d’elle. Ce Lapin parle, se plaignant d’être en retard, et tire une montre de son gousset (une petite poche de gilet). Alice le suit par curiosité, le voyant disparaître dans un large trou au pied d’une haie.

La chute d’Alice est lente, lui donnant le loisir de regarder autour d’elle. Le trou est sombre, mais elle voit les parois garnies d’armoires et d’étagères avec des cartes géographiques et des images. Elle prend un pot de confiture étiqueté « Orange Marmalade » qui est malheureusement vide, et le dépose dans une armoire pour ne blesser personne. Elle se moque des chutes et se sent brave.

Pendant sa chute interminable, Alice s’interroge sur sa localisation, mentionnant des concepts comme « milles », « latitude » et « longitude » sans vraiment les comprendre, mais les trouvant « beaux et sonores ». Elle imagine traverser la terre et rencontrer des gens marchant la tête en bas aux « Antipathies », se rendant compte que le mot n’est pas juste. Elle pense à poser des questions géographiques comme « est-ce ici la Nouvelle-Zemble ou l’Australie ? », tout en essayant de faire la révérence en l’air, ce qui est absurde.

Elle se met à rêver, questionnant sa chatte Dinah sur la consommation de chauves-souris, le sommeil la gagnant. Finalement, elle atterrit en douceur sur un tas de fagots et de feuilles sèches, sans se faire mal.

🗝️ La Petite Clé d’Or et les Portes du Jardin

Alice se retrouve dans une longue salle sombre. Elle découvre une petite table à trois pieds en verre massif avec une minuscule clé d’or. Elle essaie d’ouvrir les portes de la salle, mais la clé est trop petite ou les serrures trop grandes. En faisant un second tour, elle aperçoit un rideau très bas dissimulant une petite porte d’environ quinze pouces (environ 2,7 cm par pouce) de haut, où la clé s’adapte « à merveille ». Cette porte mène à un étroit passage, « à peine plus large qu’un trou à rat », qui donne sur le « plus ravissant jardin du monde ». Elle désire ardemment y entrer mais ne peut pas passer.

🧪 Boire et Manger pour Changer de Taille

Retournant à la table, Alice espère trouver une autre clé ou un « grimoire » (livre de magie) pour « se fermer comme un télescope ». Elle trouve alors une petite bouteille étiquetée « BUVEZ-MOI ». Prudence, Alice vérifie l’absence de l’inscription « Poison », se souvenant des contes où les enfants subissaient de « très désagréables choses » pour ne pas suivre les instructions de leurs parents (comme le tisonnier qui brûle les mains). Après avoir tout avalé, elle se sent « toute drôle » et « rentre en moi-même et que je me ferme comme un télescope ». Elle mesure alors dix pouces de haut. Heureuse d’être enfin à la bonne taille pour le jardin, elle attend quelques minutes, craignant de « s’éteindre comme une chandelle » si elle rapetissait encore.

Cependant, elle s’aperçoit qu’elle a oublié la clé sur la table. Dans son désarroi, elle se donne de « très bons conseils » qu’elle suit rarement, se grondant et se tapant même pour avoir triché à une partie de croquet jouée seule. Elle réfléchit à son état, ne pouvant plus « faire deux personnages » à sa taille actuelle.

Elle trouve ensuite une petite boîte en verre sous la table, contenant un « tout petit gâteau » avec les mots « MANGEZ-MOI » écrits avec des raisins de Corinthe. Elle décide de le manger, espérant qu’il la fera grandir pour atteindre la clé ou rapetisser pour ramper sous la porte. Elle dévore le gâteau rapidement.

🌊 La Mare aux Larmes

Alice grandit « de plus en plus, et si vite ». Elle devient si grande qu’elle s’inquiète pour ses pieds, se demandant comment elle pourra leur envoyer des bottines à Noël. Elle se sent « grande » et pleure des « torrents de larmes », au point de créer une grande mare profonde d’environ quatre pouces et s’étendant jusqu’au milieu de la salle.

Elle entend le Lapin Blanc, en « grande toilette », accourant « tout affairé », marmonnant sur la Duchesse et le fait d’être en retard. Alice, malheureuse, lui demande de l’aide. Le Lapin, la prenant pour « Marianne » (sa bonne), lui ordonne de courir à la maison chercher des gants et un éventail. Alice obéit, pensant à quel point le Lapin sera surpris quand il saura qui elle est.

Elle entre dans une petite chambre rangée où elle trouve l’éventail et des gants. Elle aperçoit une autre petite bouteille sans inscription « BUVEZ-MOI » mais la boit tout de même, espérant « regrandir » car elle est « fatiguée de n’être qu’une petite nabote ».

🏠 Prise au Piège dans la Maison du Lapin Blanc

Alice grandit démesurément, remplissant la pièce. Elle est obligée de laisser pendre un bras par la fenêtre et d’enfoncer un pied dans la cheminée. Heureusement, elle arrête de grandir. Elle regrette d’être descendue dans le terrier, de ne faire que grandir et rapetisser, et d’être la « domestique des lapins et des souris ». Elle s’interroge sur la perspective de ne jamais être une vieille femme mais de toujours avoir des leçons à apprendre.

Elle entend le Lapin Blanc crier « Marianne ! » et chercher ses gants. Alice, oubliant qu’elle est « mille fois plus grande que le Lapin », tremble. Le Lapin essaie d’ouvrir la porte, mais le coude d’Alice l’en empêche. Le Lapin envoie alors son jardinier, Patrice (un lézard), par la cheminée. Alice lui donne un coup de pied, l’envoyant « en l’air comme une fusée ». Le Lapin propose de « mettre le feu à la maison ». Alice menace alors d’envoyer Dinah à leur poursuite, ce qui provoque un « silence de mort ».

Se souvenant des gâteaux qu’elle a trouvés, elle mange l’un d’eux, sachant qu’elle ne peut plus grandir. Elle diminue rapidement et s’échappe de la maison. Dehors, elle retrouve Patrice et d’autres animaux qui attendaient. Elle court et se réfugie dans un bois touffu.

🐛 La Chenille et le Champignon

Alice souhaite retrouver sa taille normale et trouver le jardin. Elle rencontre un petit chien qu’elle craint. Elle finit par se demander comment grandir ou rapetisser à nouveau.

Elle découvre un grand champignon d’environ sa hauteur. Au sommet, elle voit une grosse chenille bleue fumant tranquillement une longue pipe turque (houka ou narguilé). La Chenille lui demande qui elle est, et Alice répond qu’elle le sait à peine elle-même, ayant changé de taille plusieurs fois. La Chenille insiste pour qu’Alice s’explique, mais Alice se sent incapable car elle « n’est plus moi-même ». Alice explique que grandir et rapetisser si souvent embrouille ses idées.

La Chenille ne comprend pas. Alice essaie de lui faire comprendre en parlant de la transformation de la chenille en chrysalide puis en papillon. La Chenille s’irrite du ton d’Alice. Alice, à son tour irritée par le « parler bref » de la Chenille, lui demande qui elle est. La Chenille répond un simple « Pourquoi ? ».

Alice tente de réciter le poème « Vous êtes vieux, Père Guillaume » (une parodie de la comptine « You Are Old, Father William »). La Chenille déclare que c’est « tout de travers d’un bout à l’autre ». La Chenille lui demande quelle taille elle désire. Alice répond qu’elle aimerait être « un petit peu plus grande », trouvant « trois pouces de haut » (la taille de la Chenille) trop petit. La Chenille se met en colère, étant elle-même de trois pouces.

La Chenille finit par lui expliquer que les deux côtés du champignon ont des effets différents : l’un fera grandir, l’autre rapetisser. Alice, perplexe devant un champignon « tout rond », prend un morceau de chaque côté. En grignotant le morceau de sa main droite, elle reçoit un coup violent sous le menton, le menton ayant frappé son pied – elle rapetisse. Elle se met alors à manger de l’autre morceau pour compenser.

🕊️ La Rencontre avec le Pigeon

Son cou s’allonge démesurément, la faisant ressembler à un serpent. Un gros pigeon la prend pour un serpent cherchant à manger ses œufs. Alice proteste qu’elle est une « petite fille », mais le Pigeon insiste que les petites filles sont « une espèce de serpent » car elles cherchent des œufs. Alice nie chercher des œufs, et ne voudrait pas des siens, car ils ne sont pas « crus ». Le Pigeon lui ordonne de s’en aller.

Alice finit par maîtriser les morceaux de champignon, rapetissant et grandissant à volonté, jusqu’à retrouver une taille normale, puis se réduit à neuf pouces pour ne pas effrayer les habitants de la maison qu’elle aperçoit.

🏘️ Chez la Duchesse : Cuisine Poivrée et Chat Grimaçant

Alice s’approche d’une maison et voit un laquais-Poisson. Un autre laquais-Grenouille ouvre la porte. Le laquais-Poisson donne au laquais-Grenouille une invitation de la Reine à une partie de croquet. Leur échange formel et absurde amuse Alice.

La maison est pleine de bruit : hurlements, éternuements, vaisselle brisée. Alice demande comment entrer, mais le laquais-Grenouille tient des propos insensés. Finalement, Alice ouvre la porte et entre dans une grande cuisine enfumée.

Elle y trouve la Duchesse assise sur un tabouret, dorlotant un bébé qui éternue constamment, et une cuisinière qui brasse de la soupe et jette des casseroles. Alice remarque un Chat qui « grimace ». La Duchesse explique qu’il s’agit d’un « Grimaçon » (Chat de Cheshire). La Duchesse prononce « Porc ! » si fort qu’Alice frémit, réalisant que c’est pour le bébé. Alice mentionne qu’elle ne connaît pas de chats qui grimacent, mais la Duchesse insiste qu’ils le peuvent tous.

La Duchesse affirme qu’Alice ne sait pas grand-chose. La cuisinière met « trop de poivre » dans la soupe. Alice tente de montrer son savoir en expliquant la rotation de la Terre. La Reine hurle : « Qu’on lui coupe la tête ! ». La Duchesse chante une berceuse cruelle au bébé, le secouant violemment. Alice s’empare du bébé, qui grogne et se transforme en porc. Alice le dépose et le regarde trotter tranquillement vers le bois. Elle pense que certains enfants qu’elle connaît feraient de jolis porcs si l’on savait comment les métamorphoser.

Elle aperçoit alors le Chat de Cheshire assis sur une branche. Alice lui demande quel chemin prendre. Le Chat répond que cela dépend de sa destination, et comme cela lui est « indifférent », « peu importe de quel côté » elle ira. Alice précise « quelque part », et le Chat assure qu’elle y arrivera si elle marche assez longtemps.

Le Chat lui indique qu’un Chapelier et un Lièvre habitent par là, et que « tous deux sont fous ». Il explique sa propre folie : un chien grogne quand il est fâché et remue la queue quand il est content, tandis que lui grogne quand il est content et remue la queue quand il est fâché. Il invite Alice à la partie de croquet de la Reine, puis disparaît. Il réapparaît un instant, demande des nouvelles du bébé, puis disparaît progressivement, laissant son sourire grimacer dans l’air pendant un certain temps après que le reste de son corps ait disparu. Alice trouve cela « le plus drôle ».

☕ Le Goûter de Folie du Chapelier Fou

Alice se dirige vers la maison du Lièvre, reconnaissable à ses cheminées en forme d’oreilles et son toit couvert de fourrure. Elle rapetisse à deux pieds de haut avant d’entrer.

Elle arrive à une très grande table dressée pour un goûter, où le Chapelier, le Lièvre de Mars et un Loir endormi sont serrés à un coin. Ils crient qu’il n’y a pas de place, mais Alice s’assied à un autre bout. Le Lièvre lui offre du vin qu’il n’y a pas, ce qu’Alice trouve impoli, tout comme le Lièvre trouve impoli qu’elle s’asseye sans être invitée. Le Chapelier remarque que les cheveux d’Alice ont besoin d’être coupés.

Le Chapelier pose une énigme sans réponse. Le Loir intervient, à moitié endormi. Alice se fâche contre l’absence de réponse et le gaspillage de temps. Le Chapelier explique qu’on ne « gaspille pas quelqu’un » et qu’ils sont toujours à « six heures » (l’heure du thé) car il s’est querellé avec le Temps. Il raconte qu’il a chanté à un concert de la Reine de Cœur, qui a crié « Qu’on lui coupe la tête ! » pour « tuer le temps ».

C’est pourquoi il y a « tant de tasses à thé » car ils n’ont pas le temps de laver la vaisselle. Ils se déplacent autour de la table pour trouver des tasses propres.

Le Lièvre et le Chapelier demandent au Loir de raconter une histoire. Le Loir commence une histoire sur trois sœurs, Elsie, Lacie et Tillie, qui vivaient « au fond d’un puits » et « vivaient de mélasse ». Alice objecte que c’est impossible, mais le Chapelier et le Lièvre la réprimandent. Le Loir explique que c’était un « puits de mélasse », ce qu’Alice nie, mais finit par accepter par politesse. Le Chapelier leur explique avec une logique absurde qu’on tire de la mélasse d’un puits de mélasse, et des petites filles qui s’y trouvent aussi. Alice trouve cette grossièreté « trop forte » et s’en va.

Elle découvre un arbre avec une porte et se retrouve dans la longue salle près de la table de verre. Cette fois, elle prend la clé, puis mange du champignon pour rapetisser à deux pieds de haut, passe par le passage et entre dans le superbe jardin.

👑 La Cour de la Reine de Cœur et le Jeu de Croquet

Alice arrive dans le jardin et voit trois jardiniers (Deux, Cinq, Sept) peindre des roses blanches en rouge. Ils s’expliquent en chuchotant qu’ils ont planté de mauvaises roses et doivent les peindre avant l’arrivée de la Reine, qui les décapiterait sinon.

La procession royale arrive : des soldats (aux mains et pieds aux coins, comme des cartes), des courtisans, les enfants de la Reine ornés de cœurs, des rois et des reines (dont le Lapin Blanc agité), le Valet de Cœur portant la couronne, et enfin, le ROI et la REINE DE CŒUR.

La Reine, impatiente, demande à Alice son nom et qui sont les jardiniers. Alice répond courageusement que ce n’est pas son affaire. La Reine ordonne de les décapiter. Alice cache les jardiniers dans un grand pot de fleurs.

La Reine demande à Alice si elle sait jouer au croquet. Alice rejoint la partie. Le jeu est absurde : les arceaux sont des soldats courbés en deux, les maillets sont des flamants vivants, et les boules sont des hérissons vivants. Le jeu est chaotique, sans règles précises, et les instruments de jeu se déplacent ou s’échappent.

Alice revoit le Chat de Cheshire qui apparaît et disparaît. Le Roi n’aime pas la « mine » du Chat. La Reine ordonne de lui couper la tête. Le bourreau, le Roi et la Reine débattent de la possibilité de décapiter une tête sans corps. Alice suggère de consulter la Duchesse à ce sujet.

La Duchesse apparaît, se collant à Alice et lui offrant des « morales » absurdes et inventées, comme « l’amour fait aller le monde » ou « on ne tire pas plus de mélasse d’un puits ». Elle explique que « Soyez ce que vous voulez paraître » est une morale importante. Alice a du mal à suivre ses longues et complexes explications. La Reine apparaît, furieuse, et ordonne à la Duchesse de partir sous peine de décapitation. La Duchesse disparaît « en un clin d’œil ».

La partie de croquet continue jusqu’à ce que la plupart des joueurs soient condamnés à mort.

🐢 Le Griffon et la Fausse-Tortue

La Reine demande à Alice si elle a vu la Fausse-Tortue. Elle explique que c’est ce « dont on fait la soupe à la Fausse-Tortue » et lui demande d’aller l’écouter raconter son histoire. Le Roi gracie secrètement les condamnés.

Alice rencontre le Griffon, un être fabuleux « moitié aigle, moitié lion ». Le Griffon se moque de la Reine et assure à Alice que personne n’est exécuté. Ils vont trouver la Fausse-Tortue, qui est triste et pleine de larmes.

La Fausse-Tortue commence son histoire en disant qu’elle était « une vraie Tortue » autrefois. Elle explique qu’à l’école dans la mer, ils recevaient « la meilleure éducation possible ». Les matières enseignées étaient :

  • « À Luire et à Médire » (allusion à lire et médire).
  • « L’Arithmétique » avec ses branches : « l’Ambition, la Distraction, l’Enjolification et la Dérision ».
  • La « Mérographie » et le « Dédain ».
  • Le « Larcin et la Grève » (vol et grève).

Ils parlaient aussi d’un « quadrille de Homards », une danse. La Fausse-Tortue et le Griffon miment la danse, qui implique de « se mettre en rang le long des bords de la mer », « avancer deux fois », « faire une cabriole dans la mer », « changer de homards », et « revenir à terre ».

Alice leur raconte ses aventures depuis le matin, incluant sa récitation ratée de « Père Guillaume ». La Fausse-Tortue et le Griffon trouvent cela « singulier » et un « fameux galimatias » (propos incompréhensibles). La Fausse-Tortue chante une chanson sur la soupe de tortue, ce qui est son « plus grand bonheur ».

⚖️ Le Procès du Valet de Cœur

Un cri lointain annonce : « Le procès va commencer ! ». Le Griffon emmène Alice en courant.

Ils arrivent dans une cour de justice où le Lapin Blanc, en héraut, est présent. Une table est remplie de tartes qui donnent faim à Alice. Le juge est le Roi, portant sa couronne par-dessus sa perruque. Les douze jurés écrivent leurs noms sur des ardoises, craignant de les oublier. Alice les traite de « niais ».

Le procès concerne le Valet de Cœur, accusé d’avoir volé les tartes de la Reine. Le premier témoin est le Chapelier. Il apporte sa tasse de thé et sa tartine de beurre, expliquant qu’il n’avait pas fini son thé. Le Roi lui demande d’ôter son chapeau, mais le Chapelier dit qu’il n’est pas à lui, il les vend. La Reine le fixe, le faisant trembler. Le Roi menace de l’exécuter s’il n’est pas calme. Le Chapelier mord sa tasse au lieu de sa tartine de beurre.

Pendant ce temps, Alice grandit à nouveau. Le Loir objecte qu’elle n’a pas le droit de grandir « ridiculement ». Le Chapelier continue sa déposition confuse, parlant de thé et de tartines. Le Lièvre nie ses dires. Le Chapelier ne se souvient pas ce que le Loir a dit. Le Roi le menace d’exécution. Le Chapelier se prosterne, mais le Roi trouve qu’il est un « pauvre orateur ».

Le Chapelier se retire, et la Reine ordonne de lui couper la tête dehors.

Le deuxième témoin est la cuisinière de la Duchesse, tenant la poivrière. Le Roi lui demande de quoi les tartes sont faites. Elle répond « De poivre principalement ! ». Le Loir, à moitié endormi, murmure « De mélasse ». La Reine, furieuse, ordonne de saisir, décapiter, pincer et arracher les moustaches du Loir. La cour est sens dessus dessous pour le Loir. Quand le calme revient, la cuisinière a disparu.

Le troisième témoin est Alice. Le Roi lit la « règle quarante-deux » qui stipule que « toutes les personnes de plus d’un mille de haut doivent quitter la cour ». Alice répond que ce n’est pas une règle d’usage, le Roi l’a inventée. Le Roi, pâlit, ferme son carnet et ordonne aux jurés de « délibérer ».

Le Lapin Blanc annonce qu’il y a d’autres dépositions à recevoir, et sort un papier. Il s’agit d’une lettre écrite par l’accusé mais non signée. Le Roi pense que l’absence de signature prouve de mauvaises intentions et sa culpabilité. Alice conteste, disant que cela ne prouve rien.

Le Lapin Blanc lit les vers de la lettre, qui sont un galimatias total, dépourvu de « sens commun ». Le Roi tente d’interpréter les vers de manière absurde. La Reine, en colère, ordonne « l’arrêt d’abord, on délibérera après ». Alice crie que cela n’a pas de bon sens. La Reine hurle : « Qu’on lui coupe la tête ! ».

À cet instant, Alice se retrouve allongée sur le gazon, la tête sur les genoux de sa sœur.

😴 Le Réveil et le Sens du Rêve

Sa sœur la réveille, lui disant qu’elle a fait un « drôle de rêve ». Alice lui raconte toutes les « étranges aventures ». Sa sœur, en l’embrassant, la renvoie prendre le thé.

La sœur d’Alice reste assise, rêvant à son tour du Pays des Merveilles, imaginant les bruits du Lapin Blanc, du goûter sans fin du Lièvre, des ordres de la Reine, du bébé-porc, du crayon du Lézard et des sanglots de la Fausse-Tortue. Elle se représente Alice, plus tard, conservant son cœur simple et aimant d’enfant, racontant ses aventures à d’autres enfants.


💡 Section 3 : Analyse Thématique et Symbolique d’Alice au Pays des Merveilles ✨

Au-delà de l’intrigue fantaisiste, Alice au pays des merveilles est une œuvre riche en significations.

👧 Le Personnage d’Alice : Quête Identitaire et Maladresse

Alice est le personnage central du conte. L’étude du personnage d’Alice explore sa formation.

Dès le début de l’œuvre, Alice se questionne sur son identité et sa perception d’elle-même. Après avoir rapetissé, elle ne se reconnaît plus et se demande « qui suis-je donc, je vous prie ? ». Elle tente de se comparer à Ada ou Mabel, vérifiant si elle se souvient encore de ses leçons (tables de multiplication, géographie). Sa capacité à réciter « tout de travers » des fables ou poèmes, comme « Vous êtes vieux, Père Guillaume » ou « Le Corbeau et le Renard », l’amène à douter de son identité, pensant être transformée en Mabel. Cette perte de repères renforce le sentiment d’aliénation et la difficulté à se définir dans ce monde chaotique.

Alice est souvent maladroite. Par exemple, elle offense la Souris en parlant de chats et de chiens, sans intention de faire du mal, mais par manque de tact ou de compréhension des sensibilités du monde merveilleux. Elle se décrit elle-même comme « très maladroite dans mes paroles ». Sa tendance à faire des remarques inappropriées ou à poser des questions embarrassantes est une source d’humour et met en évidence le décalage entre sa logique d’enfant du monde réel et l’absurdité du Pays des Merveilles.

Sa quête principale est de sortir du terrier et de retrouver une taille « normale » pour entrer dans le « ravissant jardin ». Pour ce faire, elle doit surmonter diverses « épreuves », principalement liées aux changements de taille et aux rencontres avec les habitants excentriques.

😂 L’Humour, l’Absurde et le Non-Sens : Le Cœur de l’Œuvre

L’humour dans Alice au pays des merveilles se manifeste sous diverses formes. Il résulte souvent de l’exposition de situations ou de personnages insolites, comme le Loir endormi dans la théière.

L’absurde et le non-sens sont des procédés d’humour qui mettent en évidence un conflit avec le sens. Quand il y a un « décalage entre la chose et le sens », cela conduit au rire. Cela passe souvent par le langage.

Quelques exemples flagrants :

  • Les morales de la Duchesse : Elle attribue des morales arbitraires et souvent contradictoires à des situations simples, par exemple, « l’amour, l’amour qui fait aller le monde à la ronde », ou « Soyez ce que vous voulez paraître », qu’elle complique ensuite avec une explication incompréhensible.
  • Les coq-à-l’âne du Chapelier : Sa montre qui indique le quantième du mois mais pas l’heure, son explication sur sa querelle avec le Temps qui fait qu’il est toujours six heures (l’heure du thé), ou ses énigmes sans réponse, sont des exemples parfaits de logique tordue et de non-sens.
  • Les propos sibyllins de la Chenille : Son « Pourquoi ? » constant face aux questions d’Alice, ou son refus de reconnaître l’incertitude d’Alice sur son identité, sont des échanges absurdes.
  • Le Loir endormi et ses interventions : Ses propos à moitié endormis et son histoire des trois sœurs vivant de mélasse dans un puits de mélasse.
  • La règle 42 qui chasse Alice de la cour : L’idée qu’une règle soit inventée sur le champ pour justifier une expulsion, et la logique circulaire du Roi sur l’importance du « rien » dit par Alice.

🎭 La Dimension Critique et Morale de l’Histoire : Une Satire Voilée

L’œuvre peut être lue comme une critique de certaines facettes de la société victorienne, notamment l’éducation et la justice.

  • La Justice Absurde : Le procès du Valet de Cœur est un exemple éclatant de l’absurdité du système judiciaire. Les règles sont inventées sur le champ, les témoins sont incohérents, les preuves sont des poèmes sans sens, et la Reine hurle « l’arrêt d’abord, on délibérera après ! », ce qui est une inversion totale de la logique juridique. Le Roi lui-même, en tant que juge, se montre incompétent et se fie à des calembours pour juger.
  • Le Pouvoir Royal Tyrannique : La Reine de Cœur est une figure de l’autorité arbitraire et tyrannique. Sa phrase fétiche « Qu’on leur coupe la tête ! » est proférée à la moindre contrariété, pour des raisons futiles comme des roses de la mauvaise couleur, ou pour tuer le temps. Cela illustre un pouvoir sans limite, dénué de raison et de compassion.
  • L’Éducation Ridiculisée : Les « disciplines fantaisistes » enseignées à la Fausse-Tortue sont une parodie des matières scolaires traditionnelles. « Luire et Médire » pour Lire et Écrire, « Ambition, Distraction, Enjolification et Dérision » pour l’Arithmétique, ou « Larcin et Grève » pour les langues mortes, sont des critiques humoristiques des méthodes d’apprentissage rigides et parfois absurdes de l’époque. La Duchesse, avec ses « morales » stéréotypées, est une caricature des figures éducatives dogmatiques.

💭 Le Monde de l’Enfance et le Rêve : Une Évasion

Le merveilleux dans Alice est principalement déclenché par le rêve. Le début du conte est ancré dans le réel, avec Alice assise à côté de sa sœur, avant de basculer dans l’imaginaire avec l’apparition du Lapin Blanc.

L’ensemble de l’aventure d’Alice est un rêve, comme le prouve le fait qu’elle se réveille à la fin sur les genoux de sa sœur. La sœur d’Alice elle-même se met à rêver, revivant les scènes principales du conte et les bruits du Pays des Merveilles. Ce cadre onirique permet à Carroll d’explorer des thèmes et des logiques qui seraient impossibles dans le monde réel.

Le récit de la sœur à la fin du conte offre une « symétrie » et une « belle idée » du message que Carroll veut faire passer. Elle se représente Alice, dans le futur, conservant « le cœur simple et aimant de son enfance », racontant des « aventures étranges » à d’autres enfants et partageant leurs « petits chagrins » et « innocentes joies ». C’est un message sur la préservation de l’imagination et de la perspective enfantine face à la réalité et à l’âge adulte.

🧩 Les Jeux sur le Langage et la Parodie : Une Créativité Sans Limite

Lewis Carroll, en tant que professeur de logique et mathématicien, a infusé son œuvre de nombreux jeux de mots, calembours, et logiques tordues.

  • Parodie de poèmes et de comptines : Alice tente de réciter des poèmes connus, mais les mots lui viennent « tout de travers », créant des parodies qui ajoutent au non-sens de l’univers. L’exemple du « Père Guillaume » ou du « Corbeau » est éloquent.
  • Quiproquos et sophismes : Les conversations sont souvent basées sur des malentendus ou des raisonnements fallacieux. L’échange entre Alice, le Chapelier et le Lièvre sur « dire ce que l’on veut dire » et « vouloir dire ce que l’on dit » est un classique de la confusion sémantique.
  • Noms absurdes : Les noms des matières enseignées à la Fausse-Tortue (« Luire et Médire », « Enjolification », « Larcin et Grève ») sont des jeux de mots qui déforment le sens pour créer un effet comique et critique.
  • La montre du Chapelier qui indique le « quantième du mois » mais pas l’heure est un exemple d’objet dont la fonction est déformée.

Ces jeux de langage ne sont pas de simples gags ; ils sont au cœur de la subversion de la logique du Pays des Merveilles et contribuent à l’expérience désorientante et amusante d’Alice.


🚀 Section 4 : L’Héritage et l’Impact Durable de l’Œuvre 🌈

Alice au pays des merveilles transcende les générations par son originalité et sa capacité à interpeller sur des sujets universels.

🌟 Une Œuvre Intemporelle

L’œuvre de Lewis Carroll, bien que profondément ancrée dans le contexte du XIXe siècle (avec des références temporelles comme l’abolition de l’esclavage dans l’Empire britannique en 1833 ou l’invention du cinématographe en 1888), reste incroyablement pertinente. La richesse de ses thèmes – la quête d’identité, la confrontation à l’absurde, la critique sociale, la frontière entre rêve et réalité – assure sa longévité et sa résonance auprès de publics variés.

🎨 Influence sur l’Art et la Culture

Le livre a inspiré d’innombrables adaptations, des films aux jeux vidéo, en passant par des œuvres d’art et des références dans la culture populaire. Les illustrations de John Tenniel sont devenues iconiques et indissociables de l’œuvre, façonnant l’imaginaire collectif du Pays des Merveilles. Des artistes comme Salvador Dalí ont également illustré l’œuvre, témoignant de son pouvoir d’inspiration.

Le conte de Lewis Carroll a également influencé d’autres auteurs, en mêlant personnages humains et animaliers. Il se distingue des contes traditionnels par son approche unique du merveilleux et de l’absurde.


💖 Conclusion : Un Chef-d’œuvre de l’Imagination 🎩✨

Alice au pays des merveilles n’est pas seulement l’histoire d’une petite fille tombant dans un terrier de lapin. C’est une exploration audacieuse de la logique, de l’identité, de l’autorité et du langage, enveloppée dans une fantaisie onirique. Lewis Carroll a créé un monde où les règles du réel sont subverties, forçant Alice, et par extension le lecteur, à remettre en question sa propre perception de la normalité.

L’œuvre est une invitation permanente à la réflexion, à l’émerveillement, et à l’acceptation de l’absurdité inhérente à l’existence. La sœur d’Alice, à la fin, se projette dans un avenir où Alice racontera ses « aventures étranges » à d’autres enfants, soulignant le rôle du conte comme transmetteur de l’imagination et de la joie.

Alors, la prochaine fois que vous croiserez un lapin pressé ou qu’un chat vous regardera avec un sourire énigmatique, souvenez-vous d’Alice. Peut-être est-ce là une invitation à plonger à votre tour dans un monde où tout est possible ! 🌟

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